Trousse – Jardin Oriental

Derrière VOGLIO BENE, il y a les créations de Bénédicte PICCOLILLO, designer, diplômée en photographie et graphiste autodidacte. Directrice artistique d’une marque textile pendant un temps, c’est pendant le premier confinement que murit l’idée d’une nouvelle aventure. Après de longs mois de travail et de prototypage, Bénédicte et Pascal, son compagnon, décident de se lancer : VOGLIO BENE est née.

Après un bref passage aux beaux-arts, elle décide de tout quitter pour devenir photographe. Quelques aventures plus tard, elle tombe amoureuse Adobe Photoshop et ne le quittera plus. Elle se lance alors corps et âme dans le design et la création, en y incorporant un mix de ce qui la passionne : le tattoo, l’univers baroque, l’onirique et le mystique. Tout récemment, Bénédicte s’est lancée dans le collage des ses œuvres dans la rue, elle travaille actuellement sur de nouveaux projets en France et aux Etats-Unis.

voglio.benedicte
VoglioBeneArt

« J’ai découvert Bénédicte et tout son monde par hasard. J’ai tout de suite été émue, au point d’avoir l’impression qu’une partie de moi avait déjà vécu dans cet univers, et ce que j’avais dans la tête prenait forme à travers son art.

Comme si quelque chose résonnait et se reconnaissait en moi. Elle met en lumière avec tellement de délicatesse et d’élégance, ce qu’il y a de plus fragile en l’être humain, des corps mis à nu, des histoires tatouées, tout en arrivant à faire naître des personnages féminins plein de force et de puissance, et des hommes bouleversants dans ce qu’ils symbolisent. 

J’aime sa façon unique de mélanger la poésie, toutes les poésies, et toutes ses influences pour en faire quelque chose d’unique et de tellement précieux. J’admire et j’observe en silence toute la richesse des ses mondes intérieurs. Ses œuvres sont complétement intemporelles, c’est là aussi que réside leur beauté : comme si hier, aujourd’hui et demain se superposaient parfaitement dans un ensemble harmonieux.

Tout ce que Bénédicte nous transmet à travers son regard, je le prends comme un cadeau très rare dont on prendrait grand soin. Quelque chose de très personnel qu’on a envie de garder près de soi et ne pas abîmer, comme si ses personnages et moi partagions un langage secret et une histoire commune. »

Marie NEVEU, parolière et chanteuse.